Les appartements royaux

Elendil réfléchi puis dit:

-S'il y a une forêt près du château je préfèrerais y allé

Izildane ne savait que trop quoi penser de ce qui se passait. Elle croyait que seul, Kal ne lui ferait aucun mal. Après tout, il est un ami de longue date. Cependant, il y a de cela plusieurs années qu'elle l'a vu pour la dernière fois.

- Hadrian, tu peux sortir. Vous aussi soldats.

Elle se tourna vers Kal et pris un ton amical.

- Je dois dire que j'aimerais vraiment parler avec Kal, mais la vu de ton épée ne me rassure en aucun point. Pourrais-tu la déposer sur la table et nous irons discuter sur le balcon, d'accord ?

Hadrian n'aimait pas l'attitude de l'étranger, mais la réactionde son épouse le rendait encore plus perplexe. Izildane acceptait malgré tout de lerecevoir en privé. Malgré qu'il ait pénétré dans leurs appartements en cachette et qu'il se soit permis de les espionner.

-Je ne quitterai cette pièce que lorsque je serait absilument certain que tu ne risque rien.

Il regarda l'homme qui venait de remettre son épée au fourreau.

-Je veut bien vous assurer protection et que mes hommes ne feront rien contre vous, mais vous devrez par contre agréer à la demande de mon épouse et laisser votre épée sur la table. A cette seule condition je vous garantirai qu'aucun de mes hommes ne tenteras rien ils quitteront la pièce ainsi que moi même.

Il rengainna sa propre épée et attendit la réponse de L'étranger.

L'inconnu finit par obtempérer et posa sa lame sur le bureau, au grand soulagement d'Hadrian d'alleur. Il ne conaissait pas l'inconnu mais il savait que ce serait un adversaire de taille en cas de conflit et il ne teniat pas vraiment a mettre son épée elfique à l'épreuve. Il se retourna vers Izildane.

-Je te laisse t'en tretenir avec lui seule, je n'aime pas vraiment mais je n'ai qu'une seule parole et je la respecte toujours. Les gardes resteront à ta disposition dans le coulloir et moi également. essaie de faire vite nous devons partir rapidement.

Il tenta de l'embrasser mais son bouclier l'en empêcha. Il arbora une figure mi-figue mi-raisin et il quitta la chambre suivis des grades la laissant seule avec l'étranger

Izildane se tourna vers Kal et le remercia. Puis elle déposa un baiser sur la joue d'Hadrian.

- Je ne serai pas longue. De toute façons nous devons partir bientôt pour Arianeth, et je meurt de faim.

Elle afficha un sourir des plus doux puis retourna au près de Kal. Elle tira une chaise près de la petite table du balcon et s'y assis.

- Voudrais-tu quelque chose à boire ou à manger ?

- Ah! Tu sais, nombres de choses préoccupent les têtes fortes d'Arkania. Un en particulier mais plusieurs sujets doivent être débattus. Mais je ne crois pas être autorisé à en dire plus sur le sujet désolé.

Elle se mis à son aise en plaçant un petit oreiller dans son dos puis continua.

- Tu étais venu me voir pour quelquechose d'important ? à en voir la manière que tu as eu de te présenter.

Izildane fut surpris que Kal connaisse Idriss. Elle le regarda en arcan les sorucis d'étonnement.

- Oui je le connais mais je dois avouer que j'ignorais qu'il étais de même pour toi.

Izildane tourna la chaise pour faire face à Kal. La discussion allait être bien plus longue que prévu.

- Tu parles du dirigeant de l'ordre des mages. C'est un mage extrêmement puissant et du fais même un ami très proche. Je ne peux pas faire cela.

- Idriss ne tuerait personne sans raison. Il est loin de ressembler à son traître d'oncle. Et il m'a sauver la vie! C'est pourquoi je suis si près de lui. Je ne peux te laisser lui faire du mal.

Izildane était perturbée. Qu'avait bien pu faire Idriss pour que Kal le hais au point de le tuer.

- C'était une embusquade. Tu dois savoir que la relation entre mon mari et Shaltar de Magyars est loin de la fraternité habitulelle qu'il y a entre deux frère. C'était, d'après nous, une de ses multiples tentatives de tuer Hadrian.

Puis elle se leva outré des propos que tenait Kal, se dirigeant vers l'intérieur de la chambre.

Izildane se tourna vers Kal. Ses yeux étaient totalement blanc.

- Ose et je te tue. Ne fais pas l'erreur de tous nous mettre dans le même bâteau. Idriss n'est pas parfait, mais il ne fais rien pour rien.

Elle tourna le dos à Kal et repris la parole.

- Aucun garde ne te suivra. Tu peux partir l'esprit en paix.

Izildane ne reconnaissait plus son ancien ami. Il avait une arrogance beaucoup plus forte et aussi un petit côté trop sur de lui qui était totalement nouveau.

- Je suis déçu par le Kal que tu es devenu. Celui dont je me souvenais était gentil et amical. Envers ses amis tout de moins. Dommage que nos retrouvailles se soient déroulées ainsi.

Elle se tourna et vit que Kal oubliait son épée sur la petite table où il l'avait déposé dix minutes plus tôt.

- Prend ton épée et sort d'ici. À moins que tu aies envie de reprendre la discussion à zéro.

Les yeux d'Izildane étaient revenu à la normal, mais elle était toujours en colère.

Izildane sortit de la chambre. Elle remplaça son aire contrarié pour un visage plus amical et serein.

- Bonjour chevalier, que puis-je pour vous ?

Elle promena son regard sur les deux hommes qui se trouvaient devant elle. Un était un garde de la citadelle, et l'autre ressemblait à un rodeur. Il tenait un grand sac de toile.

- Puis-je savoir ce que contient ce sac ?