Le point de rencontre

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Après plusieurs heures, les nains et les elfes arrivèrent enfin au port. Le Roi marchait à côté de son cheval qui tenait par les rênes. Il tourna la tête vers le nain, mais il dut baisser la tête vu la grandeur de son compagnon.

Katan : Alors, quel est le meilleur endroit pour se reposer vous et moi?

Il observait le port avec un regard différents. Les seuls fois qu'il avait visité ce Royaume, il avait était dégoûté par cet endroit, pusqu'il n'avait cessé de penser à son passé, mais maintenant il regardait plutôt vers le futur.

Katan suivit silencieusement le nain qui l'amena sasn perdre de temps à l'auberge la plus grande que le Roi avait pu voir dans sa vie. Elle était assurément assez grande pour permettre à tout le monde d'y faire la sieste. Lorsque le souverain entra, il pu voir les choses magnifiques que les nains étaient capable de sculpter dans la pierre, dont les merveilleux griffons. Azaghâl lui donna les informations nécessaire pour se retrouver dans l'auberge et le Roi cria à l'intention des elfes :

Katan : Repos, soldats! Jusqu'aux prochaines directives vous avez champs libre pour faire ce que vous voulez. Lorsque le moment pour vous sera de dormir, vous devrez prendre le couloir Nord-Est.

La foule s'agita et pendant ce temps, Katan reporta son attention sur Azaghâl.

Katan : Non, allons s'asseoir là-bas.

Il pointa une banquette rembourré de velour pourpre. Le Roi des Elfes s'assied le premier et attendit que le souverain des nains engagent la conversation.

Azaghâl approcha une petite table de la banquette, puis demanda au roi elfes.

Voulez-vous une bière où à manger?

Katan réfléchit et en fait mis à part le sommeil, il n'avait besoin de rien.

Katan : Non, merci tout de même.

Le Roi ne fit que demander un verre d'eau à un homme de main et il l'eut dans les moindres délai. Il en but une gorgée et le posa sur la table. Voyant que le nain ne semblait avoir un sujet de discussion, Katan choisi d'en prendre un au hasard.

Katan : Je voulais savoir, étant près de Pandor, donc de la prison de Matyr, avez-vous des ennuis vis-à-vis lui? Je veux dire n'a-t-il jamais tenté de vous corrompre?

Le souverain s'avait qu'une entente avait été signé entre ses deux peuples, mais avec Matyr on pouvait s'attendre à tout.

Azaghâl très relax pris une bière sur le plateau d'un nain qui passait, puis s'assi. Il prit une grande gorgé, et commança à parlé.

Matyr n'a jamais tenté de me corrompre, puisqu'il n'en avait pas besoin, et de vous à moi même pour un être de sa puissance c'est plutôt difficile de corrompre un nain, ou un elfe ou même les humains de Mythan. Mais il n'avait même pas besoin de me corrompre pour avoir tout traité puisque depuis des centaines d'années, il terrorise mon peuple. À plusieurs reprises, il m'a menacer pour que je continu à suivre le traité. C'est même dû à une de c'est expérience que je suis allé au conseil. Lorsqu'il vous contact c'est une expérience tromatisante. Premièrement, tout devient sombre, puis votre vue est flou, votre chaleur se dérobe de votre être, vous devené tout étoudit et vous ne pouvez plus respiré, le temps est comme ralentit et finalement sa voix retentit dans votre tête. J'aimerais que mon territoire soit à des lieux d'ici.

Puis Azaghâl fit venir une assiette de porc salé et une pipe de tabac pour ce relaxer.

Le Roi acquiesça d'un digne de tête.

Katan : Je comprend votre angoisse. Vivre si près de la menance la plus grande connue de tout Arkania me terroriserai tout autant que vous. Je me demande comment nous allons faire pour vous protéger étant si près de lui, si vous décidez un jour d'arrêter tout exportation avec eux. Espérons seulement qu'il reste dans sa prison, comme cela nous avons déjà un certains contrôle sur lui, mais s'il sort de là, nous sommes fichu...

Il se tut et repris son verre d'eau. Le souverain plongea ses lèvres dans l'eau glacé et en but une grande goulée.

Azaghâl alluma sa pipe puis reprit la parôle.

S'il sort nous serons surement fichu, vous-avez raison. Mais en voyant ici, des elfes et des nains, 2 originalements races rivals, s'amuser ensemble. L'espoir d'un jour sans guerre et sans Matyr. Si Matyr réussi à sortir, je me battrai jusqu'à la mort pour protégé mon peuple et tout les nains ferons de même. Et n'oubliez pas que nous avons quelques choses qu'il n'a pas... des amis, des femmes, des enfants... Bien que beaucoup moins nombreux que ses armés nous avons du coeur et un but noble. Je préfère mourir que de voir tout mon peuple esclave.

Azaghâl prit une bouffé de sa pipe en attendant la réaction de Katan.

Buvant jusqu'à la dernière goutte, il le reposa sur la table et répondit à Azaghâl.

Katan : Je suis d'accord avec vous. Nous combattons pour de bonne raison et cela fait notre force. Juste à voir les elfes et les nains dans cette auberge sans qu'il n'y ait aucune meurtre, c'est nouveau. Habituellement, nos deux peuples s'entreturaient assurément.

Le Roi aussi commençait à bien apprécier ce peuple. C'était de la racune qui l'avait fait haĩr ce peuple. Depuis le jour de la mort de sa mère. C'était du passé, il devait vivre pour le futur et oublier le reste. Passant du coq à l'âne, Katan continua.

Katan : Que pensez-vous du plan de l'embuscade?

Le souverain redemanda de l'eau à un serviteur et un verre lui fut servit dans les secondes suivantes.

Ce plan est très bon. J'espère seulement que nous gagnerons. Notre premier objectif, sera de bloqué le porteur du livre pour qu'il ne le donne pas à Matyr. Et si nous réussissons à le prendre mais que nous soyons sur le point de la défaite, je crois que nous devrons le détruire. Nous devrons tout faire pour qu'il reste emprisonné.

Par la suite, Azaghâl continua à boire, fumer et manger en écoutant Katan.

(HRP : Je sais pas si tu t'es relu, mais je ne veux plus faire parti de l'alliance avec toi. Tu trahis ton identité toi-même . Tu as écrit que tu voulais remettre le livre à Matyr. ^^)

Le Roi des Elfes écouta attenivement les paroles d'Azaghâl.

Katan : Oui, le plan a été bien pensé. Il va assurément falloir détruire ce livre. Pour l'instant, c'est le seul moyen possible pour Matyr de se sortir de là, alors nous n'avons pas réellement le choix.

L'elfe bailla profondément. Dans quelques instants, il ne pourrait s'empêcher d'aller dormir, mais pour le moment, il préféra rester avec le Roi des Nains pour discuter.

Katan : Probable. Mais justement. Mieux vaut le cacher en lieu sûr si nous souhaitons le garder. Grande puissance égale grand danger. Je ne sais pas s'il faudrait se réjouir de le posséder. S'il se retrouve entre nos mains, MAtyr tentera assurément de le récupérer et cela engendrera des guerres interminables jusqu'à ce qu'il le récupère. Et croyez-moi, le Seigneur du Mal n'est pas à court d'idées.

Katan se tut. Il but son verre d'eau au complet et le reposer sur la table. Il était à court de sujet de discution, alors il regarda passer le temps, attendant de voir si le Roi des Nains avait quelque chose d'autre à dire sinon, il irait se coucher.

Peut-être, mais si nous détruisons son livre, les conséquences cerons les même. Il envera toutes ses armées pour se venger d'avoir sa seul chance de se libérer. Nous allons continuer notre discution demain si vous le voulez bien?

Azaghâl se leva et alla porter ses choses au comptoir, puis revaint.

Je vais vous conduire à votre chambre.

Katan : Bien.

Le souverain se leva d'un bond. Il se tourna vers Azaghâl.

Katan : Je vous suis.

Lorsque le roi commencerai à marcher, il le suivrait.

Azaghâl suivi de Katan ce dirigea vers le couloir nord. Ils marchèrent jusqu'au bout. Azaghâl s'arrêta devant la dernière porte à droite, puis ce retourna.

Voici votre chambre. Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous n'avez qu'à le demandé. Vous êtes chez vous ici.

Puis, il ouvrit la porte. À l'intérieur, un lit assez grand pour un géant recouvert de couvertures de soie et un foyer de marbre qui diffusait une lumière chaleureuse et un crépitement apaisant dans la salle.

Je vous souhaite une bonne nuit.

Azaghâl attendait que Katan entre avant d'aller dans sa propre chambre.

Le Roi inclina la tête face à Azaghâl.

Katan : Je vous remercie, collègue. Bonne nuit vous aussi, faisez de beaux rêves.

L'elfe entra dans la pièce et referma la porte derrière lui. Il se dépêcha à se dévêtit et s'emitoufla dans les couvertures. En plus d'être fatigué, le Roi avait souffert du changement subite de température. Il n'y avait pas de neige en Exempla, ce qui était tout à fait différent ici en Marindor. Ce ne prit pas de temps avant que le Roi s'endormit.

(HRP: Je me réveillerai soit lorsque tu viendras me chercher, ou bien à suite de ton prochain post.)

Ce fut Azaghâl lui-même qui vint frapper à la porte de Katan. Ce dernier put entendre trois coups distincts. Azaghâl attendait tout en disant assez fort pour que l'elfe puissent entendre.

-Il est midi Katan. Souhaiteriez-vous vous joindre à nous?

Le Roi des Elfes battit lentement des paupières pour entendre Azaghâl qui lui priait de se lever. Il sortit des chaudes couvertures de pays de Marindor et enfila son habit de la veille. Par de léger pas sur le sol, Katan se rendit jusqu'à la porte, qu'il entre-ouvrit. Les cheveux en bataille, il le salua :

Katan : Bonjour Azaghâl! Oui, je vous suis.

L'elfe sortit de la pièce ajusta son chemisier blanc et attendit le Roi des nains pour l'amener, là où il disait qu'ils se joindraient à d'autres...

Azaghâl salua les nains comme les elfes en souriant lorsqu'ils traversèrent la grand-salle. Ce matin, il manifestait une bonne humeur plutôt impressionnante, mais ses yeux avaient l'air qu'un nain ne prendrait que s'il était terriblement inquiet...
Azaghâl et son "collègue" montèrent les escaliers puis marchèrent durant une petite minute au travers des nombreux couloirs éclairés et décorés de quelques bas-reliefs. Azaghâl s'arrêta net devant une porte tout à fait semblable aux autres hormis le fait que deux gardes d'élites nain la protégeait. Ils entrèrent dans la pièce qui contenait un certain nombre de tables auxquelles étaient attablé(non c'est pas vrai! xd) quelques nains qui avaient l'air plutôt importants de par la qualitée imposante de leurs armures.
Ces mêmes nains saluèrent les deux souverains de façon militaire et attendirent que Azaghâl commence à parler, ce que fit celui-ci après avoir invité le roi des elfes à s'asseoir:

- Katan, je suis désolé de vous avoir réveillé pour seulement vous faire partager mes craintes, mais celles-ci me paralisent... Enfin presque... En fait, je crains le fait d'être tenaillé par deux royaumes qui appatiennent, de façon indirecte il est vrai, à Matyr... Magyars a une très puissante armée et s'il cherche à nous envahir, j'en suis certain, ce sera soit pour libérer Matyr, soit parce que Matyr est avec lui... Et dans ce deuxième et dernier cas, nous n'aurions aucunes chances de nous en sortir. N'avez vous pas un moyen pour que l'on sache ce que nos ennemis font, Katan?

Katan suivit son collège à travers différents couloirs et arriva devant une porte surveillée par deux gardes. Ils y entrèrent et régardé par Azaghâl de ses yeux troublé, Katan ressentit ses craintes. Le Roi des naisn vida son sac, en effet il y avait pensé, mais devait-il tout confier, à pas plus tard qu'hier, à un nain qu'il n'appréciait pas plus que ça, qu'il détestait à la limite? Deux idées se battaient ensemble dans sa tête. : 1) Tout dévoiler ce qu'il savait à son compagnon, ce qui serait logique puisqu'il était du même camp ou 2) Garder pour lui ce qu'il savait et attendre des nouvelles? Il n'était pas sûr, et devant tous ses gens, il ne voulait alerter les hommes qui étaient à leur charge pour rien. L'elfe se pencha à l'oreille du Roi nain :

Katan : Connaissez-vous un endroit où les murs ne possèdent pas d'oreilles?

Le souverain attendit qu'Azaghâl lui répond pour pouvoir agir. Un souverain qui n'avait aps l'habitude de ne pas garder son sang froid, cette fois-ci il avait bien peur, l'emprisonnement de Matyr tirait à sa fin et ça il le redoutait.

Azaghâl écouta avec attention et appréhension la réponse brève de son homologue elfe. Il s'était soulagé en partageant ses doutes, ses peurs même, il avait l'impression d'être un peu ridicule, mais il se faisait le porte-parole de tout un peuple, le sien... Il réfléchit quelques instant. Finalement il dit simplement à tous les hommes de la salle d'une voix déterminée qui montrait bien qu'il ne s'attendait pas à ce que l'on discute:

- Veuillez sortir rapidement, s'il vous plaît. Vous saurez plus ce que vous devez savoir...

Apparement, les généraux comprirent qu'ils n'avaient pas tant d'interêts que ça à rester écouter cette conversation. Du coup, chacun s'empressa de sortir en emportant les quelques affaires laissées auparavant dans ces même lieux. Lorsqu'ils s'en furent allés, Azaghâl commença à s'exprimer:

- Vous avez peut-être remarqué que cette salle n'a pas de fenêtres. En fait, cette même salle a toujours été destinée aux réunions, que ce soient celles des plus grands généraux de Marindor ou bien celles de simples marchands et de mercenaires. L'isolation de cette salle est même renforcée par des sorts très puissants. Je pense que sauf Matyr ou un autre mage très puissant qui serait situé juste derrière la porte, personne ne pourrait entendre notre conversation.

Il reprit son souffle puis acheva:

- Bref, ici, personne ne pourrait nous entendre... Alors, je vous en prie, dîtes-moi tout!

Si le nain fut surprit par l'apparition soudaine d'Idriss, il ne le montra en aucun points. Il sourit tristement à Katan et lui dit simplement:

- Voilà le genre de mage très puissant auquel je faisais allusion.

Il fit une courte pose, le temps que son sourire s'estompe. Enfin, il regarda Idriss dans les yeux et dit alors:

- Ce n'est pas que je sois malheureux de vous voir, bien au contraire, Idriss, je suis même honoré de vous voir... J'imagine que vous devinez quelles sont mes craintes... Elles sont dûes à Matyr et au fait que nos voisins de Magyars sont bien menaçants, leur armée est puissante et je pressens comme un danger, je pense qu'il est dû à ça... C'est bizarre, il marrive rarement de pressentir quoi que ce soit et pourtant, je ne me suis jamais, ou presque, trompé... Je suis tourmenté par le fait que mon peuple soit acculé contre la mer. Il faut que je sache quel est ce danger... Auriez-vous le pouvoir suffisant de me dire quel est-il? Ce n'est pas seulement pour moi que je dis ceci, mais pour le peuple nain dans son ensemble!

Ainsi termina t-il son discours. Il attendit alors la réponse d'Idriss de la même manière qu'il attendait celle de Katan.