Petite écurie

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Kel'Thuzad et Baltar arrivèrent à ce qui ressemblait à une écurie après une bonne marche. Il faisait extrêmement noir proche de cette écurie. Pour un humain normal il aurait été impossible de distinguer quelque chose. Baltar partit en survolent pour voir les alentours pendant que Kel'Thuzad s'avança tranquillement en direction de l'écurie. L'elfe s'approcha du petit bâtiment de bois, il regarda par la fenêtre. Il y avait une petite lumière dans le fond de la pièce et une personne était assise sur une chaise, la personne semblait dormir. Baltar alla se percher sur le dessus de l'écurie en attendant la suite des évènements. Kel'Thuzad cogna à la porte pour réveiller la personne qui était à l'intérieure. Il cogna une fois...personne ne lui ouvrit, il cogna une deuxième fois...encore rien. Kel'Thuzad commençait à perdre patience, alors il se dirigea vers la fenêtre et cogna tout en criant :

- Hey ! Ouvrez moi !

L'elfe resta droit devant la fenêtre, avec son capuchon sur la tête en attendant que la personne lui ouvre la porte. Il voulait avoir au plus vite sa monture pour arriver le lendemain à l’auberge du soi-disant Kirkof.

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Un homme se montra à la fenêtre. Il tenait un grand couteau dans ses mains et le mettait bien en évidence pour disuader la personne qui demandait d'entrer. Il se mit alors à parler à Kel'Thuzad.

- Qu'est-ce que vous voulez ? Il n'y a pas d'argent ici. Partez.

Kel'Thuzad pouvait voir l'énervement de l'homme. S'il ne faisait rien pour le calmer, il lui sauterait dessu à coup sur.

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Kel'Thuzad fut un peux surprit de la réaction de l'homme qui pointait un couteau dans sa direction. L'elfe recula un peux de la fenêtre, il croisa les bras tout en regardant l'homme agiter son couteaux.

- Bon bon bon, calme toi. Je ne veux pas de ton argent, je veux juste un de tes chevaux.

Kel'Thuzad alla chercher lentement le morceau de papier froissé que lui avait donner le barman. Il le défroissa el le tendis vers l'homme qui était a l'intérieur de l'écurie. Kel'Thuzad resta calme face a cette homme un peux trop énerver à son goût. Baltar vint se poser sur l'épaule de son maître pour voir de plus près la scène.

- Allez ouvre moi que je puisse de donner ce bout de papier.

Kel’Thuzad marcha vers la porte et attendit que l’homme lui ouvre. Pour être sur de lui Kel’Thuzad avait posa sa main sur l’une de ses épées au cas où l’homme deviendrait trop agressif.

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L'homme ouvrit lentement la porte tenant son couteau devant lui, en direction de Kel'Thuzad. Il tendit la main et saisissa le bout de papier d'un seul trait. Il lu ce qu'il y était inscrit puis se détendit, l'aire soulagé.

- Vous auriez du me dire que c'est mon frère qui vous envoyait ! Allez, entrez.

Puis l'homme fit signe de la main de passer devant, et rangea son couteau dans sa ceinture.

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Kel'Thuzad fut soulager que l'homme se soit calmer. Quand le frère du barman rangea son couteau l'elfe se décontracta un peux, il ne voulait pas se battre sans raison car il voulait gardé ses forces pour plus tard. Kel'Thuzad fit signe à Baltar de l'attendre à l'extérieur, le hibou s'exécuta sur le champ et repartit se percher sur la petite maison. Pendant ce temps l'elfe entra dans la pièce et regarda un peux partout. Il se retourna ensuite pour faire face à l'homme.

- Votre ''Frère'' ma dit que si je vous donnais ce bout de papier vous pourriez me donner un de vos chevaux, est-ce que vous pouvez faire cela ?

Kel'Thuzad croisa ses bras en attendant la réponse de l'homme. Si il devait faire le trajet à pied cela lui prendrait beaucoup trop de temps et l'épuiserait trop.

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L'homme se retourna et regarda Kel'Thuzad. Il le regarda de la tête au pieds puis se mit à ricaner.

- Alors vous êtes ce fameux marchand à qui il aurait emprunté un cheval pour revenir dans le village ? Plutôt singulier comme tenue pour un commerçant. Mon frère m'avait dit que vous portiez la barbe et que vous étiez assez bedonnant. Surprenant à quel point une personne peut changer.

Le barman avait oublié de dire ce qu'il avait écrit sur le bout de papier. En fait, le cheval appartenait à un marchand de Mythan. Le barman l'avait emprunté lorsque le sien s'était cassé une patte et qu'il avait du l'abattre. Il avait donc écrit sur le papier que c'était le propriétaire qui venait quérir sa monture. L'homme marcha alors vers le fond du bâtiment. Devant lui se trouvait 5 stalles. Il regarda alors l'écriture sur le bout de papier puis se dirigea vers la quatrième stalle. Il ouvrit la grille et en sorti une magnifique bête. Noir d'encre avec le bas des pattes noirs, l'étalon prénommé Garyd, dépassait de quelque peu Kel'Thuzad. L'homme le fit avancer et l'arrêta devant Kel'Thuzad.

- Alors c'est bien celui-ci ? Magnifique bête en passant.

Puis l'homme tendit les reines à Kel'Thuzad.

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Kel'Thuzad ne s'avait pas trop quoi répondre à l'homme. Pendant un instant il le croyait un peux fou, mais l’elfe ricana un peux et entra dans le jeux.

- Oui je dois avouer que j'ai perdu beaucoup de poids.

L'elfe regarda l'homme aller plus loin dans la pièce même jusqu'a sortir, il revint avec un cheval magnifique d’un noir incroyable. Kel'Thuzad le regarda quelque seconde puis détourna son regard vers l'homme qui lui tendait les reines.

- Oui c'est bien celui la !

Kel'Thuzad emmena le cheval à l'extérieur de la maison. Une fois rendue à l'extérieur l'elfe embarqua dessus le cheval, il siffla pour appeler Baltar. Le hibou apparut quelque instant après. Kel'Thuzad regarda en direction de l'homme qui l'avait suivi jusqu'a l'extérieur.

- Je dois partir maintenant. Merci pour avoir gardé ma monture.

Kel'Thuzad salua l'homme de la main ensuite le cheval se mit à galoper dans la direction que Kel'Thuzad lui avait indiquer. L'elfe et sa monture était presque invisible à cause de leur couleur sombre, personne n'aurait pu les voir durant leur trajet vers la taverne de Kirkof.

Suite

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L'homme regarda s'éloigner Kel'Thuzad, le coeur léger croyant avoir redonner son cheval à ce bon samaritin qui avait aidé son frère. Cela lui prit quelques instants avant de se rendre compte qu'il n'aillait pas dans la bonne direction pour retourner d'où il venait.

- Monsieur ! La cité est de l'autre côté ! Monsieur !

Voyant qu'il ne pouvait plus l'entendre, il entra confu dans l'écurie et referma la porte derrière lui.

De son côté Kel'Thuzad trottait tranquilement sur le dos de son cheval, en direction du petit village au pied des montagnes.